CHÈRE JEANNE : Que devons-nous faire de tous les vers de terre que nous voyons une fois qu’ils fuient un sol gorgé d’eau? Devrions-nous les laisser tranquilles? Les remettre dans le sol lorsque le sol s’est un peu desséché?
Ceux qui me concernent le plus sont tous ceux qui sont dans le caniveau, sur les côtés de la rue, prêts à être emportés à tout moment.
Molly Rhine, Los Gatos
CHÈRE MOLLY: La théorie commune est que les vers de terre remontent à la surface pour échapper aux tunnels inondés et au sol saturé, et qu’ils sont soit balayés par la pluie, soit font un mauvais choix pour essayer les trottoirs.
Des recherches plus récentes, cependant, déversent de l’eau sur cette croyance. Comme les vers respirent à travers leur peau, ils peuvent respirer l’oxygène de l’eau, un peu comme le fait un poisson. Les scientifiques croient maintenant que les vers profitent de l’humidité pour migrer. Comme ils ont besoin de cette humidité pour traverser les barrières telles que les trottoirs et les bordures de ciment, la pluie leur fournit une piste lisse.
Une autre raison, selon les chercheurs, est que les vers pensent que le bruit de la pluie qui frappe le sol est celui d’un prédateur qui s’approche, comme une taupe, envoyant les vers à la surface pour échapper au danger.
Quelle qu’en soit la raison, certains vers se font attraper à mesure que la pluie s’évapore et que le mouvement devient difficile, voire impossible. Remettre les vers sur l’herbe ou le sol est une gentillesse appropriée.
CHÈRE JOAN: Dans une chronique récente, un lecteur a posé des questions sur une écaille noire d’un demi-pouce de long avec un point blanc à la fin. Vous avez dit que ça pouvait être un rat ou une chauve-souris, mais ça vient d’un lézard.
Les reptiles excrètent leurs déchets solides et liquides à partir de la même ouverture (cloaque). La plupart des lézards, en particulier le lézard de clôture de l’Ouest (ventre bleu), commun en Californie et dans les États de l’Ouest, excrètent une pastille de déchets solides foncés avec une pastille blanche constituée de l’urée fixée à l’extrémité de la pastille sombre.
Au fil du temps, les deux se séparent par les brises ou la pluie. Cette scat se trouverait très probablement dans un endroit ensoleillé où le lézard se prélasse souvent au soleil pour la chaleur dont il a besoin pour attraper puis digérer sa nourriture.
Brian Swanson, naturaliste interprète, Escondido
CHER BRIAN: J’ai appris deux choses aujourd’hui. Un, que le scat mystère appartient à un lézard, et deux, les gens de la région de San Diego connaissent leur caca de reptile. Après que le San Diego Union-Tribune ait publié cette chronique le week-end dernier, j’ai eu 17 (et en comptant) courriels de lecteurs mettant les pendules à l’heure.
CHÈRE JOAN: Chaque fois qu’un vagabond suit mon chat, la porte automatique coûteuse qui est censée ne fonctionner que lorsque l’animal porte un collier spécial, reste également ouverte pour le vagabond.
De plus, mon chat viendra à la porte par curiosité lorsque le vagabond regardera à travers la porte transparente, la déverrouillant ainsi à nouveau. Le blocage de la fenêtre ne fonctionne pas non plus, car le parasite tapera alors contre la porte jusqu’à ce que mon chat vienne à elle, le déverrouillant encore une fois.
Je soupçonne que les fabricants étaient au courant de ce problème.
Rich Brooks, San Diego
CHERS RICHES: S’ils ne savaient pas avant, ils le font maintenant. Merci pour l’alerte. Les gens peuvent économiser beaucoup d’argent et de frustration en gardant simplement leurs chats à l’intérieur ou en investissant dans un catio — un espace extérieur fermé.