Royaume-Unidit
En vertu de la législation britannique en vigueur, ces machines sont autorisées à proposer du contenu classé en catégorie B2, Catégorie B3 ainsi que du contenu de catégorie C. L’article principal dresse un tableau des enjeux et des gains maximaux légaux.
Les magasins sont autorisés jusqu’à quatre terminaux, bien que ce nombre comprenne également les machines à sous traditionnelles. La plupart des magasins privilégient les nouvelles RSOS plutôt que les machines à sous traditionnelles. La Commission des jeux de hasard rapporte qu’il y avait 33 319 RSOS dans les bureaux de paris britanniques entre octobre 2011 et septembre 2012.
Les RSOS ont été critiqués en raison du potentiel de dépendance lors de la lecture des machines. Ils ont été surnommés le « crack » du jeu par les critiques. En réponse à cette critique, en 2014, les bookmakers représentés par l’Association des Bookmakers britanniques ont introduit la possibilité pour les clients de fixer des limites de temps et d’argent lors de l’utilisation des RSOS. En octobre 2017, le département du Numérique, de la Culture, des Médias et du Sport a commencé à étudier la possibilité de réduire la limite de mise maximale de 100 £ et une décision a été prise en mai 2018 de limiter la mise maximale à 2 £. Cette nouvelle limite de mise maximale est entrée en vigueur le 1er avril 2019. Plusieurs bookmakers ont fait valoir que la perte de revenus qui en résulterait pourrait les obliger à réduire leurs activités dans la rue (l’industrie estimant que 2 100 magasins pourraient être fermés collectivement): en juillet 2019, William Hill a annoncé son intention de fermer 700 magasins, citant principalement la nouvelle réglementation. La députée Tracey Crouch a répliqué à ces arguments, notant que les statistiques de l’industrie montraient une tendance à la baisse des revenus des magasins de paris physiques en faveur des paris en ligne, avant même l’entrée en vigueur de la restriction.
ScotlandEdit
À la suite du référendum sur l’indépendance de l’Écosse de 2014, la Commission Smith s’est réunie, dirigée par Lord Smith de Kelvin. Le 27 novembre 2014, le rapport de la Commission Smith pour une nouvelle dévolution des pouvoirs au Parlement écossais a été publié. La page 22 sous la rubrique « Paris, Jeux et Loteries » indique que « Le Parlement écossais aura le pouvoir d’empêcher la prolifération des Terminaux de Paris à Cotes Fixes ». Les cinq principaux partis (SNP, Verts, Conservateurs, Travaillistes, libéraux) ont accepté les termes du rapport. La dévolution de ce pouvoir au Parlement écossais sera promulguée par le Parlement britannique en temps voulu. La page 11 du rapport indique : « Le gouvernement britannique s’est engagé à produire des projets de clauses d’application « … ceci et… » publiera ces clauses d’ici le 25 janvier 2015 « .
Northern IrelandEdit
Il y a plus de 900 RSOS en activité en Irlande du Nord, mais le groupe de campagne Fairer Gambling soutient qu’ils ne sont peut-être pas légaux en vertu de la loi nord-irlandaise, car la Loi sur les jeux de hasard de 2005 ne s’applique qu’en Angleterre, au Pays de Galles et en Écosse. En 2015, le Département du Développement social a déclaré que seul un juge pouvait se prononcer sur leur légalité.
République d’Irlandedit
Une revue de paris de 2008 en République d’Irlande a statué que les machines ne devraient pas être introduites dans les magasins de paris irlandais mais seraient autorisées dans les casinos.